D'après la figure, il y a une frange brillante en A et sombre en B, donc l'interférence est constructive en A et destructive en B.
2)
Si des ondes interférent de manière constructive alors elles sont en phase et si elles interfèrent de manière destructive alors elles sont en opposition de phase.
D'après le document, (a) et (c) sont en phase alors que (a) et (b) ainsi que (b) et (c) sont en opposition de phase, donc (a) et (c) interfèrent en A alors que (a) et (b) ou (b) et (c) interférent en B.
Partie B 1.1)
D'après le document 2, on constate que pour un petit nombre d'impacts, la répartition sur l'écran est aléatoire, donc on ne peut pas prévoir la position d'un électron.
D'après le document 2, on constate que pour un grand nombre d'impacts, la répartition sur l'écran fait apparaître des régions correspondant à des franges vides d'électrons alternées avec des franges pleines d'électrons, donc cette epxérience met en évidence la dualité onde-particule pour l'électron.
2.1.1)
D'après le document 2 l'interfrange vaut
\(\displaystyle \underline{\mathrm{ i = 2,0 \ μm }}\)